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Les box braids sont incontournables quand on a les cheveux texturés. Parce qu’il s’agit de coiffures protectrices bien entendu, mais aussi parce qu’elles sont particulièrement stylées !

Parmi les braids, on trouve notamment les tresses vanilles. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que ces dernières ont de la suite dans les idées.

En Anglais, « braids » signifie « tresses ». Les box braids sont des coiffures protectrices (maillage vers article « Quel soin après une coiffure protectrice ?) réalisées à partir de tresses à trois branches régulières sur toute la tête, la plupart du temps sur la base de rajouts. De leur côté, les tresses vanilles sont des variantes des box braids. Les « twist », comme on les appelle dans les pays anglophones, sont effectués à partir de deux mèches de cheveux, et proposent des possibilités infinies de coiffures. On en a retenu cinq :

1. Box braids avec des tresses vanilles : le half bun locks

Il s’agit en fait d’un chignon sur demi-tête. On démarre en attrapant la partie supérieure des cheveux, c’est à dire celle qui se trouve au-dessus des oreilles, exactement comme si on voulait faire une demi queue de cheval. On enroule les cheveux autour d’un élastique, mais on les noue en chignon au lieu de passer la mèche en entier.

2. Box braids avec des tresses vanilles : le side hair locks

On commence par faire une raie sur le côté, puis on sélectionne des mèches en ligne, on effectue une torsade et on la maintient avec une épingle. On répète l’opération sur 4 ou 5 lignes.

3. Box braids avec des tresses vanilles : le chignon haut

Super facile à effectuer, le chignon haut dégage le visage et donne un style très de élaboré. Pour un look ultra tendance, on accessoirise le chignon en l’entourant d’un foulard replié. Autre idée : laisser retomber deux vanilles sur le devant de la tête, une de chaque côté, et les décorer avec des bijoux de cheveux.

4. Box braids avec des tresses vanilles : le foulard

On sélectionne des mèches à l’avant et on les retrousse pour faire une sorte de banane. Ensuite on prend des mèches sur le côté et on les noue pour faire tenir la banane. On regroupe le reste des cheveux à l’arrière et on les maintient avec des épingles. On stabilise avec un foulard carré, noué sur le côté pour apporter une touche rétro.

5. Box braids avec des tresses vanilles : les macarons

Sur la base d’une raie sur le côté, on réalise deux mini-chignons façon princesse Leia dans Star Wars, et on fixe le tout avec des épingles. En deux temps trois mouvements le tour est joué !

Intégrer des compléments alimentaires dans sa routine beauté

Les vertus des compléments alimentaires ne sont plus à démontrer. Ils comblent notamment les carences à l’origine de différents problèmes capillaires. Dès lors, les intégrer dans sa routine beauté a tout d’une bonne idée… à condition de respecter certaines règles.

Les compléments alimentaires permettent de prévenir ou de compenser un manque en apportant une source concentrée de nutriments ou de toute autre substance ayant un effet nutritionnel ou physiologique. Côté cheveux, ils interviennent à l’intérieur de la fibre capillaire et agissent comme un coup de boost. Leur action ciblée peut porter sur de nombreuses problématiques : cheveux cassants, cheveux ternes, chute de cheveux, cheveux secs, cheveux gras, pélicules. Oui mais voilà, les compléments alimentaires ne sont pas des médicaments. Comme leur nom l’indique, ils n’ont qu’une action complémentaire. Explication.

Intégrer les compléments alimentaires dans une alimentation équilibrée

Et oui, la beauté et la santé des cheveux passent avant tout par l’assiette. Le cocktail idéal ressemble à ceci :

  • Des fruits et légumes riches en fer et en vitamine C, pour la force de la fibre capillaire.
  • Du poisson gras et des oléagineux (amandes, noisettes, noix), riches en omégas 3 et en oligo-éléments, tel que le magnésium, pour l’hydratation du cuir chevelu.
  • Des antioxydants (baies de goji, melons, carottes, légumes verts), pour protéger les cheveux des radicaux libres et du stress oxydatif.
  • Des légumes verts, agrumes et protéines animales, riches en vitamine B.

Cependant, les nutriments essentiels sont moins présents que par le passé dans notre alimentation, la faute à des produits largement transformés. Par ailleurs, d’autres éléments, tels que le stress et la pollution, renforcent nos besoins en nutriments essentiels. C’est pourquoi les compléments alimentaires sont importants. Mais ils ne doivent intervenir que pour compléter, et non pas remplacer, nos différents repas journaliers.

Intégrer les compléments alimentaires dans une routine beauté adaptée

On l’a vu plus haut, les compléments alimentaires ne sont pas des produits miracles. Ils ne peuvent constituer à eux-seuls une routine beauté. Pour être efficaces, ils doivent travailler en synergie avec des soins externes, ils sont tous interdépendants.

Les compléments alimentaires agissent à l’intérieur de la fibre capillaire, nourrissent le bulbe et assurent la pérennité de la kératine. Cela permet de renforcer l’efficacité des soins externes. Les soins externes quant à eux, huiles, shampoings, après-shampoings et masques, agissent à l’extérieur de la fibre capillaire. Pour favoriser la performance des compléments alimentaires, ils doivent être naturels et non agressifs. Il faut donc privilégier des soins sans sulfates, silicones ou parabens, et limiter les colorations et l’usage du sèche-cheveux et du fer à lisser.

Intégrer les compléments alimentaires sous forme de cure

Les compléments alimentaires ne se prennent pas de manière permanente. Il s’agit de cures de quelques mois pendant lesquelles ils intègrent la routine beauté. En matière capillaire, les cures durent en général trois mois. C’est la durée nécessaire pour débloquer la mémoire cellulaire et obtenir des résultats.

Une cure peut être réalisée à plusieurs reprises dans l’année. On cible les changements de saisons, notamment le début de l’automne et le début du printemps, lorsque les défenses immunitaires sont les plus défaillantes.

Les contre-indications

Pas de compléments alimentaires dans sa routine beauté si on est enceinte ou allaitante ! Et en cas d’effets indésirables, on arrête la cure.

Pour les apports en vitamines et en minéraux (fer, magnésium…), mieux vaut passer par la case prise de sang pour éviter le surdosage. En cas de fortes carences, on prend rendez-vous avec son médecin. Quoi qu’il en soit, il convient de toujours bien lire les posologies.

Bon à savoir : les compléments alimentaires dédiés aux cheveux ont tendance à rendre les ongles très résistants et à accélérer la pousse. Alors on évite les soins à ongles durcisseurs pendant la durée de la cure.

Lavage des cheveux, et si j’optais pour le low poo ?

Les shampoings traditionnels ont du souci à se faire, la révolution low poo est en marche ! Le principe ? Préserver les cheveux en leur proposant une alternative de lavage toute douce et beaucoup plus naturelle.

On le sait, se laver les cheveux trop souvent n’est pas bon pour la fibre capillaire et le cuir chevelu. Pour s’en convaincre, il suffit de lire la liste des ingrédients qui entrent dans la composition d’un shampoing classique. C’est la raison pour laquelle est d’abord apparue la tendance no poo, c’est à dire « pas de shampoing ». Le lavage se fait à l’eau claire, au bicarbonate de sodium ou au vinaigre de cidre. Oui mais voilà, nombreuses sont celles qui ont déchanté… C’est dans ce contexte qu’est alors intervenue la tendance low poo, beaucoup moins radicale.

Le low poo, c’est quoi ?

« Low » signifie « moins » et « poo » est la contraction de « shampoo ». Mais le low poo ce n’est pas seulement moins se laver les cheveux, c’est aussi mieux les laver. L’idée est d’espacer les shampoings et d’utiliser des produits plus naturels pour s’offrir une véritable détox capillaire.

Si on a pour habitude de prendre un shampoing un jour sur deux, on passe à un jour sur trois. Objectif : se limiter à un ou deux shampoings chaque semaine, en fonction de sa nature de cheveux. Côté formule, on opte pour un après-shampoing ou une crème lavante sans parabens, sans silicones et sans sulfates afin de laver les cheveux sans les décaper !

Par ailleurs, le low poo permet aussi de préserver l’environnement tout en épargnant son porte-monnaie. What else ?

Le low poo, pour qui ?

Il convient presque à tous les types de cheveux. Notamment les cheveux fragilisés, les cheveux secs, les cheveux frisés et les cheveux bouclés. Seule contre-indication : les cheveux gras, en raison de la texture déjà très riche des produits utilisés.

Low poo, mode d’emploi

Les formules low poo ne moussent presque pas et donc ne s’étalent pas. On applique le produit sur l’ensemble de la chevelure, du cuir chevelu aux pointes, on masse en ajoutant un peu d’eau, puis on rince abondamment. Le lavage s’arrête là, pas de masque, pas d’après-shampoing, pas de second shampoing.

On préfère vous prévenir, la phase de transition entre le shampoing classique et le low poo est délicate. Et pour cause, dans les premiers jours qui suivent le lavage low poo, les cheveux deviennent rapidement sales. Dans ce cas, on résiste et on opte pour un chignon, des tresses ou toute autre coiffure qui permet de donner le change en attendant le prochain lavage.

Et si on a quelques freins pour passer au total low pow, il est tout à fait possible d’y aller étape par étape en alternant les shampoings traditionnels et les lavages low poo. L’essentiel étant de respecter un plus large espacement des lavages.

Il y a des idées reçues qui ont la vie dure, et celle selon laquelle frange et cheveux bouclés sont incompatibles en fait partie ! Et pourtant, rien de tel qu’une frange pour magnifier des boucles. Il suffit juste de suivre quelques principes de base.

Les cheveux bouclés auraient bien tort de se priver d’une frange ! Elle constitue un bon moyen de structurer la coupe et d’adoucir le visage. À condition toutefois de respecter certains fondamentaux.

Frange et cheveux bouclés, principes généraux

Avant de passer à la frange, on opte pour un dégradé pour mieux répartir le volume des boucles.

Place ensuite à la coupe à proprement parler, et on y va doucement, tout doucement. En effet, plus une frange est courte, plus elle est difficile à entretenir. Et ceci est d’autant plus vrai les jours où la météo est capricieuse. La pluie fait remonter les boucles et les frisottis de la frange, et cette dernière ne ressemble plus à grand chose. Dans la coiffure, on appelle ça l’effet « pompon », tout est dit !

Concernant la forme, mieux vaut partir sur une frange arrondie pour matcher avec le reste des cheveux. Si on veut du naturel, il suffit alors d’effiler au niveau des pointes, et si on veut du volume, alors on garde toute l’épaisseur.

Une frange pour chaque type de cheveux bouclés

Si on a des boucles très souples ou simplement des ondulations, on part sur une frange longue et effilée, légèrement sur le côté, ou une frange mèche. À la clé, des boucles dynamiques et naturelles, qui restent sauvages tout en structurant la coiffure. Bref, le meilleur des deux mondes !

Si au contraire on a des boucles très prononcées, alors on choisit une frange plus « floue » pour se donner un petit côté sexy et sauvage.

Les faux pas à éviter

Soyons clairs, certaines chevelures bouclées ne permettent pas de tirer le meilleur parti d’une frange. Coiffer une frange sur des chevelures crépus par exemple, est un casse-tête à s’en arracher les cheveux (ce qui à la base n’est pas le but).

Reste une question : quid d’une frange lissée sur des cheveux bouclés ? La réponse est non ! Coiffure lisse ou coiffure bouclée, il faut choisir !

Côté entretien, on n’oublie pas de rendre régulièrement visite à son coiffeur (tous les deux mois en général) pour recouper la frange et faire en sorte qu’elle demeure un véritable atout pour la chevelure.

Focus sur les soins pour cheveux secs et crépus

Qui dit cheveux crépus, dit aussi cheveux secs, c’est inévitable. Bonne nouvelle toutefois, avec un bon soin et une bonne routine beauté, cette sécheresse capillaire n’a rien d’insurmontable.

L’hydratation de la fibre capillaire est assurée par le sébum. Problème avec les cheveux crépus, leur structure naturelle en spirale l’empêche de se répartir sur les longueurs. Résultat, le sébum stagne au niveau du cuir chevelu, et les cheveux deviennent secs. Pour limiter les imperfections de dame nature, il suffit juste de privilégier l’hydratation dans chaque soin.

Les composants à éviter

De manière générale, quel que soit le soin, on évite les produits comportant des parabènes, des sulfates et des colorants de synthèse. Pourquoi ? Parce qu’ils sont irritants pour le cuir chevelu, étouffants pour la fibre capillaire, et allergisants.

L’importance des huiles et masques pré-poo pour les cheveux secs et crépus

Les soins pré-poo, que l’on rince avant le shampoing, permettent de nourrir la fibre capillaire en profondeur, de renforcer le cheveu et lui redonner sa brillance, de l’assouplir et de le protéger contre les agressions des différents agents contenus dans les shampoings. Parmi ces soins pré-poo : le bain d’huile et/ou le masque.

Ils sont à réaliser chaque semaine ou toutes les deux semaines. On privilégie l’huile d’avocat, d’argan, de jojoba, de coco, de karité ou de ricin. On humidifie les cheveux, on applique le soin mèche par mèche, on enveloppe les cheveux avec du cellophane et un foulard, et on laisse reposer toute la nuit précédant le shampoing.

Lavage des cheveux secs et crépus à l’après-shampoing

Pour le lavage des cheveux à proprement parler, on favorise l’après-shampoing plutôt que le shampoing. L’après-shampoing comprend en effet les mêmes agents lavants qu’un shampoing, mais se veut bien plus nourrissant et bien plus hydratant. On mise sur des après-shampoings à l’huile d’olive, à l’huile d’avocat ou au beurre de karité.

Si vraiment on ne peut pas se passer de shampoing, on espace au maximum la fréquence de lavage (une ou deux fois par semaine). On part sur une formule douce et nourrissante tels que les shampoings à l’avocat, aux œufs, à la noix de coco, à l’aloe vera ou encore au beurre de karité.

Mise en condition avec une mousse ou une crème hydratante

Riches en actifs, les mousses et crèmes hydratantes permettent de lutter contre les frisottis et de définir les frisettes, tout en hydratant en profondeur.

Défrisage de cheveux : un lissage ça se prépare

Bon nombre de femmes arborant des boucles, des frisettes ou des cheveux crépus ne jurent que par les cheveux lisses (et l’inverse est tout aussi vrai, la vie est mal faite !). Alors voici comment préparer ses cheveux au défrisage, une opération loin d’être anodine.

Lorsque l’on veut défriser ses cheveux, on a le choix entre plusieurs techniques : le lissage, qui raidit la fibre capillaire de manière temporaire via l’utilisation d’une source de chaleur. Les lissages brésiliens et japonais, qui misent sur la kératine et sur la chaleur, et peuvent durer 3 à 4 mois. Le défrisage à chaud, une vieille technique qui s’appuie sur un peigne en fer, chauffé à haute température, dont les effets sont irréversibles. Et les défrisages à froid, qui capitalisent sur des produits chimiques pour raidir les cheveux de façon tout aussi irréversible. C’est de ces derniers dont il est question dans cet article.

En matière de défrisage chimique, on distingue la technologie thiolée, plus « douce », qui agit en surface et convient mieux aux cheveux bouclés et moyennement frisés, et la technologie alcaline, qui agit à l’intérieur même de la fibre pour détruire les molécules de kératine, et convient mieux aux cheveux franchement frisés et crépus.

Quel que soit le défrisage à froid privilégié, l’action des agents chimiques est très agressive. Il convient donc de préparer les cheveux en amont du défrisage de manière très méticuleuse.

S’assurer que les cheveux sont en bonne santé

On ne règle pas un problème de cheveux en les défrisant ! Au contraire, cela pourrait aggraver la situation. Les cheveux doivent donc être en parfaite santé. Si on a des cheveux abimés, secs, cassants, des pellicules ou le cuir chevelu irrité, on commence par traiter le problème avant d’envisager un défrisage.

À proscrire également : les couleurs et l’utilisation de gel et de mousse à base d’alcool, qui assèchent la fibre capillaire et la laisse sans défense face aux agressions des produits chimiques.

Si on vient de défaire des tresses ou un tissage, on attend une dizaine de jours, histoire de faire respirer la chevelure.

Enfin, pendant la grossesse ou l’allaitement, on oublie le défrisage !

Prendre rendez-vous chez son coiffeur

Le défrisage est une opération très technique qui ne s’improvise pas. Certaines erreurs peuvent s’avérer pour le moins fâcheuses. Alors pas d’autodéfrisage, on fait confiance à son coiffeur !

Pas de shampoing dans les dix jours qui précèdent le défrisage…

Ce n’est pas très ragoutant, mais la saleté accumulée sur la base du crâne protège le cuir chevelu des irritations et brûlures des agents chimiques.

mais un soin protéiné

Pendant le défrisage, les cheveux perdent leurs protéines, et donc leur force. C’est pourquoi il est important de faire un soin protéiné en amont pour les fortifier et les rendre plus résistants face aux produits de défrisage à froid. Bien entendu, on pense à faire un soin profond hydratant après le soin protéiné.

Éviter toute manipulation des cheveux

Après le dernier shampoing, le soin protéiné et le soin hydratant, on laisse les peignes, les brosses, le sèche-cheveux, le fer à lisser et les élastiques au placard. On évite également les tresses ! L’idée est de ne surtout pas affaiblir la fibre capillaire.

Appliquer une couche de protection finale

La veille du grand jour, on démêle les cheveux et on applique une dernière couche protectrice. On opte pour une solution grasse, telle que de la vaseline, du beurre de karité ou de l’huile de ricin par exemple.

Un dernier conseil pour préparer le défrisage des cheveux bouclés et crépus

Les défrisages thiolés et alcalin sont totalement incompatibles. L’un ne peut pas succéder à l’autre et inversement. Concernant la fréquence, pas plus de trois défrisages thiolés par an, et on veille à respecter un délai de six semaines entre deux défrisages alcalins.

Que celles qui n’ont jamais eu de problèmes de fourches lèvent la main ! Personne ? Pas étonnant, il s’agit là d’un problème universel… S’il n’est pas  vraiment possible de s’en débarrasser définitivement, il existe toutefois certaines solutions pour lutter contre les fourches des cheveux et en limiter les désagréments.

Commençons par les fondamentaux : les cheveux, se sont en fait différentes couches d’écailles empilées les unes sur les autres, dont la cohésion est assurée par la kératine. Problème, avec l’humidité, les rayons UV ou encore la pollution, la kératine finit par se tarir sur les longueurs. Conséquence, les écailles se détachent et les cheveux fourchent ! Une véritable catastrophe capillaire dans la mesure où il n’est pas possible de réparer des fourches… Heureusement, plusieurs astuces permettent de lutter contre les fourches des cheveux, notamment avant leur apparition.

Astuce n°1. Manger équilibré

Et oui, on n’y pense pas spontanément mais une bonne santé capillaire passe d’abord par une alimentation saine. Les omégas 3, les protéines et les oligo-éléments tel que le magnésium par exemple, renforcent considérablement la fibre capillaire et entravent la fourche des cheveux.

Astuce n°2. Limiter les frictions

Les frictions répétées contre des textiles, des chaises ou encore des sièges de voiture ont tendance à dédoubler les cheveux. C’est pourquoi il est conseillé de mettre ses cheveux sur le côté pour réduire les contacts en journée. La nuit, on opte pour un tressage lâche ou un bon vieux bonnet de nuit.

Astuce n°3. Brosser avec délicatesse

Le saviez-vous ? La fibre capillaire produit naturellement une huile protectrice communément appelée « sébum ». Un bon brossage permet de répartir le sébum sur toute la longueur. Mais attention, on évite le brossage trop vigoureux ! Un brossage doux, exécuté à la va vite suffit. Côté technique, on se sert de brosses en poils de sangliers ou de peignes en corne, et on intervient des pointes aux racines.

Astuce n°4. Passer voir son coiffeur

Couper ses cheveux est clairement une arme imparable contre les fourches. Une coupe de seulement 1 ou 2 cm permet non seulement de supprimer la plupart des fourches, mais aussi de renforcer les cheveux (donc d’empêcher les fourches de remonter), et de redonner de l’épaisseur et de l’allure aux pointes.

Astuce n°5. Supprimer (ou à défaut limiter) l’exposition à la chaleur

Est ici visé l’usage intempestif du sèche-cheveux et du fer à lisser ! L’air chaud du sèche-cheveux déshydrate la fibre capillaire et favorise l’apparition de fourches. Mieux vaut laisser sécher ses cheveux à l’air libre ou utiliser une serviette absorbante pour capturer l’humidité. Côté brushing, il est conseillé de remplacer le fer à lisser par un fer à vapeur.

Si toutefois vous souhaitez continuer à utiliser ces outils traditionnels, alors appliquez un soin thermoprotecteur en amont. Ce dernier forme une couche protectrice qui protège le cheveu contre l’exposition à la chaleur. Essayez tout de même d’espacer le plus possible le recours au sèche-cheveux et au fer à lisser.

Astuce n°6. Appliquer un soin pour lutter contre les fourches des cheveux

Huiles, shampoings, après-shampoings, masques… les soins anti-fourches sont nombreux. État des lieux :

  • Les huiles

On utilise des huiles riches et nourrissantes comme l’huile de ricin, d’argan, d’avocat, de carapate, de karité ou encore de pépins de raisins. Elles fortifient et gainent la fibre capillaire. On applique l’huile sur toute la chevelure en malaxant de manière circulaire, ou seulement sur les pointes, et on laisse agir toute la nuit de préférence. Il est aussi possible d’ajouter des gouttes d’huile dans son après-shampoing ou dans son masque.

  • Les shampoings

Après le bain d’huile, place au shampoing. Mais pas n’importe lequel ! On choisit un shampoing doux, c’est à dire sans sulfates, afin de préserver la kératine. Le shampoing doit également être nutritif et hydratant. On pense aussi à compléter le shampoing par un après-shampoing adapté.

  • Les masques

Une fois par semaine, on réalise un masque capillaire. On mise notamment sur un masque à base de kératine. Ses principes actifs réduisent l’altération des cuticules et l’apparition des fourches.

C’est bien connu, chaleur et cheveux ne font pas bon ménage. Mais alors, comment se lisser les cheveux sans lisseur ? Inventaire de ces techniques qui permettent de raidir la fibre capillaire tout en la préservant.

En quelques années, le fer à lisser s’est imposé dans la plupart des salles de bain. Il faut dire qu’il permet de s’offrir un lissage parfait en deux temps trois mouvements. Oui mais voilà, il faut aussi se rendre à l’évidence, le lisseur est un ami qui ne nous veut pas que du bien. Sa chaleur extrême dessèche et fragilise la fibre capillaire en profondeur, et contribue très largement à la formation de fourches. Heureusement, de très nombreuses alternatives permettent de se lisser les cheveux sans lisseur.

Se lisser les cheveux sans lisseur : les bigoudis

C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes, alors on mise pour de gros bigoudis magnétiques, et on enroule les cheveux mèche par mèche, vers l’intérieur. Il ne reste plus qu’à laisser sécher à l’air libre, et l’affaire est entendue.

Se lisser les cheveux sans lisseur : le kardoune

Originaire d’Algérie, le kardoune fait le bonheur des femmes d’Afrique du Nord depuis la nuit des temps. Le principe ? On enroule les cheveux mouillés ou humides dans un ruban le temps d’une nuit. Au petit matin, surprise : une chevelure lisse et brillante.

Bon à savoir : avant de mettre le kardoune en place, on démêle les cheveux en utilisant une brosse ou un peigne à larges dents, puis on les hydrate avec quelques gouttes d’huile d’argan ou de ricin.

Se lisser les cheveux sans lisseur : le wrap

Cette technique consiste à s’envelopper le dessus de la tête avec ses cheveux (« wrap » signifie « envelopper »). Comment procéder ? On s’assure d’abord que les cheveux sont bien humides. On fait une raie sur le côté, puis on enroule chaque mèche autour de la tête, en veillant à toujours aller dans le même sens. Côté fixation, on utilise des pinces plates sur chaque mèche, et on enroule un foulard autour du crâne. On laisse sécher toute la nuit, et le tour est joué.

Se lisser les cheveux sans lisseur : le sèche-cheveux

Le sèche-cheveux est le Docteur Jekyll et Mister Hide de la coiffure. Tantôt dangereux pour la fibre capillaire en mode chaud, tantôt bénéfique en mode froid. Vous l’avez compris, pour le lissage, on privilégie le mode froid ! On peigne les cheveux mèche par mèche, en suivant la brosse du sèche-cheveux.

Si vraiment on ne peut pas se passer d’air chaud, on opte pour un sèche-cheveux doté de la technologie ionique, plus rapide et moins agressive pour les cheveux, ou un sèche-cheveux doté de capteurs thermiques. Ces derniers mesurent la température de l’air plusieurs fois par seconde, ce qui leur permet de réguler la température diffusée.

Se lisser les cheveux sans lisseur : la brosse intelligente

À mi-chemin entre le fer à lisser et la brosse classique, la brosse intelligente est constituée de petits picots chauffants en caoutchouc, qui démêlent et lissent, sans écraser les cheveux à la façon des plaques classiques.

Se lisser les cheveux avec un lisseur à vapeur

Tiens, revoilà le lisseur, mais dans sa version vapeur, et ça change tout ! La vapeur d’eau ne se contente pas de lisser les cheveux, elle les hydrate ! Par ailleurs, le lisseur à vapeur est doté de capteurs de température permettant de réguler automatiquement l’intensité et la chaleur. Pour plus de protection de la fibre capillaire, on veille à respecter un protocole de soin à la kératine, et à utiliser le lisseur de manière hebdomadaire.

C’est bien connu, les cheveux bouclés sont plutôt du genre… incorrigibles ! Malgré toute la volonté du monde, ils finissent toujours par s’emmêler ! C’est comme ça, c’est dans leur nature… C’est pourquoi il est important de les brosser régulièrement. Mais attention, pas n’importe comment !

La forme naturelle des cheveux bouclés les incite à s’enrouler sur eux-mêmes, dans tous les sens. À la clé : des nœuds, de la casse, des frisottis et des boucles mal définies si on ne les brosse pas correctement.

Par ailleurs, le brossage sert à aérer le cuir chevelu, à se débarrasser des cheveux morts et à répartir le sébum, l’huile naturelle qui protège la fibre capillaire, sur toute la longueur.

La phase « brossage » est donc indispensable. Oui mais voilà, comment brosser ses cheveux bouclés sans les agresser ni les casser ? On vous dit tout.

Brosser ses cheveux bouclés régulièrement

Par « régulièrement », comprenez « tous les jours » ! C’est le prix à payer pour des boucles bien formées et bien lustrées. On privilégie une technique douce, qui ne tire pas sur les cheveux. Un petit peu chaque jour en somme. Inutile en effet d’y passer trop de temps, l’idée est simplement de les aérer, de les mettre en condition, sans nœuds, et de lisser les cuticules pour faciliter la définition des boucles.

Par ailleurs, on n’oublie pas que plus on prévient les nœuds au quotidien, moins on passe de temps à les démêler. Ainsi, il est intéressant d’appliquer chaque jour un lait capillaire afin d’éviter que les écailles des cheveux s’accrochent entre-elles dans la journée. Ce lait permet également d’assouplir la fibre et de défaire les nœuds à la main, sans déformer les boucles ni casser les cheveux.

Démêler sur cheveux mouillés

Jamais au grand jamais on brosse les cheveux bouclés à sec, sinon bonjour la casse et les frisottis ! En intervenant sur cheveux mouillés, on peut faire glisser les nœuds et les défaire plus facilement. L’idéal est de les brosser à deux reprises. D’abord sur cheveux mouillés, pendant la douche, à l’occasion du shampoing ou de l’application d’un après-shampoing ou d’un masque, puis après essorage, sur cheveux humides.

Privilégier un shampoing nourrissant et hydratant

Les cheveux produisent naturellement du sébum. Il s’agit d’une substance qui protège le cuir chevelu contre le dessèchement. Problème avec les boucles, leur forme entrave la circulation du sébum, et ce dernier a tendance à rester stagner au niveau des racines. Elles sont alors moins bien hydratées, elles se dessèchent, des nœuds se forment et les cheveux cassent au brossage.

Il est donc conseillé de compenser la répartition imparfaite du sébum en utilisant un shampoing et un après-shampoing nourrissants et hydratants.

Utiliser du démêlant

Le démêlant permet de gagner du temps le matin et de s’épargner quelques souffrances ! Il s’applique après le shampoing, sous la douche, en masque ou en spray.

Choisir une brosse adaptée

On opte pour une brosse pneumatique à larges picots afin de séparer et ordonner les mèches en douceur. Après l’essorage, on passe au peigne à dents larges et écartées. Ce dernier supprime efficacement les nœuds récalcitrants.

Il en reste encore ? Alors on dégaine son arme ultime : ses doigts. Rien de tel qu’un bon vieux peignage à la main pour finir le travail !

Côté technique, on débute le démêlage par les pointes, et on remonte sur toute la longueur. Dans le sens inverse on risquerait de renforcer les nœuds déjà présents.

Protéger les cheveux la nuit

Dernier conseil : pour éviter que les cheveux ne s’emmêlent pendant la nuit et que des nœuds se forment, on se coiffe en chignon ananas avant d’aller au lit.

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